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Dis-moi ce que tu aimes…

Nos envies sont parlantes. Nos aversions aussi!

Avez-vous déjà remarqué que certains aliments vous attirent plus que d’autres? Que vous avez des envies subites et soudaines de certains mets ou de certains aliments? Que vous êtes attirée par le sucre, ou par le sel, ou par les aliments gras?  Que parfois des aliments que vous n’aimiez pas entre bien maintenant, ou l’inverse?

Notre corps est en constante relation avec la vie. Il est changeant comme la température. Il s’ajuste au quart de tour. Il sait toujours ce dont vous avez besoin. Il sait analyser toute la nourriture qui rentre qu’elle soit physique. mentale, émotionnelle ou spirituelle. Il sait ce qui vous manque et en quelle quantité. Il sait ce qui est en excès.

C’est pourquoi il est si difficile de trouver un régime qui fonctionne tout le temps, pour toutes les étapes de notre vie, pour toutes les saisons.

Manger c’est comme respirer: ça change, ça bouge,ça s’adapte au mouvement de notre vie, au mouvement de la Vie.

Quand nous apprenons à nous détendre et à suivre le rythme de notre corps, nous pouvons observer ce qui nous attire et nous répugne. Ce qui nous comble et nous procure du plaisir et qui fait du bien. Ou bien ce qui nous procure juste un plaisir de papille mais qui ne nous fait pas tant de bien au final. L’inverse étant aussi vrai!

je me souviens d’une concoction assez amère recommandée pour moi. Ouf que c’était difficile de m’y mettre…et pourtant j’ai pu sentir mon corps l’apprécier au plus haut point! Il y a une telle intelligence en nous…Une envie d’un certain fruit ou légume, de nourriture plus chaude que crue, de plus ou moins de protéine, tout cela est langage du corps.

Quand le sucre m’attire, est-ce que je manque de douceur dans ma vie? Est-ce que j’ai besoin d’une énergie rapide parce que j’ai passé trop de temps sans manger? Est-ce que je me sens en fait fatiguée et j’aimerai me donner un coup de fouet? (pas toujours une bonne idée, en passant). Est-ce que ma mère me manque? Ai-je besoin d’affection? De Consolation? Est-ce que j’ai simplement soif?

Quand c’est le sel qui m’appelle, est-ce que je manque de soutien? Est-ce que la communication est difficile? (le sel est très important dans l’équilibre cellulaire). Est-ce que mes surrénales sont fatiguées? Est-ce que mon père, ou l’aspect du masculin me manque? Est-ce que je suis déshydratée? Est-ce que je me sens seule?

Les protéines parlent de l’enracinement, de l’affirmation,de la puissance  comme le chasseur ancestral…

Le gras de tenir dans le temps, des réserves et de la protection;

Le pain du désir de partage et de convivialité;

Le lait de sécurité affective;

Les épices du « piment » de la vie (et souvenez-vous que trop de piment fini par tuer le goût!)…et le chocolat est une épice.

Prenez le temps de regarder vos goûts…et vos dégoûts.  Ce qui vous fait saliver et ce qui vous laisse indifférente.

Dites-moi ce que vous aimez et je vous dirais qui vous êtes…en ce moment!

Perdues dans les petits objectifs

Perdre 10, 20 ou 30 livres. Les prendre. Arriver à courir 20 km, à soulever 200 livres. Rentrer dans mon maillot de bain  l’été prochain. Arrêter le sucre (ou autre chose). Devenir végane (ou autre chose)…nos objectifs sont-ils trop petits?

Il est si facile de se laisser tenter et entraîner par de petits buts, des petits pas, qui, au final, ne parle pas de nos faims les plus profondes, de nos soifs les plus importantes: être nous-mêmes, aimer, être capable d’avoir des relations nourrissantes, de vivre une intimité sexuelle satisfaisante, sentir qu’il y a un sens à notre existence.

En réduisant la valeur de notre vies à des chiffres sur une balance, à une forme sous des vêtements, à un nombre de calories ingérées par jour, à notre capacité à nous priver, ce n’est pas la vie que nous nourrissons en nous.

En nous laissant définir par des annonces publicitaires montrant ce corps que nous n’aurons jamais, que nous avons peut-être eu à 15 ans, qui ne peut être attirant que selon un seul modèle, nous entrons dans une spirale sans fin d’insatisfaction permanente et de jugement délétère.

Bien malgré nous, parce que conditionnées et infectées par le virus ambiant, nous critiquons intérieurement ou ouvertement notre corps et celui des autres. Nous avons peut-être secrètement honte que notre fils nous présente sa nouvelle flamme bien en chair, que notre fille développe trop de courbes , de hanches ou de double menton…ou qu’elle tombe amoureuse de quelqu’un.e avec un trop gros tour de taille.

Même en faisant attention, nous nous rendons compte que nous jugeons négativement tout écart au standard…qu’une petite voix fatigante nous susurre que quand même « elle » (ou nous), pourrait se prendre un peu plus en main, avoir plus de respect d’elle-même, devrait arrêter de se « laisser aller ».

Il n’est pas juste que notre poids soit mis sur la même balance que notre coeur.

Il est temps pour nous de nous guérir et de nous immuniser contre ce virus qui fait de l’image corporelle le garant de la santé, de la moralité, de la valeur, de l’intelligence, des capacités d’une personne.

Il est temps de nous redonner la permission de bouger pour le plaisir, pas pour atteindre le corps de notre prof de Yoga, ou de notre entraîneur sportif…

De sortir de la honte que nous ressentons trop souvent de ne pas paraître comme il faut.

D’arrêter d’avoir peur de l’image que nous renvoie le miroir de la salle d’essayage.

De retrouver, en nous, cette sensation de révérence pour la vie, pour notre vie et donc pour ce corps qui est notre vaisseau spatiale, unique et spécial, pour manifester cette vie, sur cette terre.

Merci, mon corps, quelque soit ta forme, ta santé , ta force, ton âge…sans toi, il n’y a pas de moi possible.

Symptôme, que me racontes-tu?

 

Notre société se veut efficace: des résultats, des chiffres, des buts. Succès ou échec. En cas d’échec on continue…on lâche pas. Parfois, on continue même ce qui ne donne aucun résultat!

Vous avez mal? Voici une pilule! (corollaire: vous avez encore mal? deux pilules…ou trois…ou on coupe un truc…ou on vous abandonne…ou c’est dans votre tête…)

Vous avez une masse? C’est la guerre qui commence ! Car il faut combattre la maladie, se battre contre la dépression, marcher contre la sclérose en plaques ou le cancer du sein…surtout ne pas abandonner le combat, sinon vous êtes mort.e.

Et si on abordait la chose autrement?

Votre corps veut vivre

Peut-être même plus que vous.

Bien que nous ne comprenions pas toujours nos symptômes et qu’ils nous embêtent, nous font souffrir, nous handicapent…ils sont comme des enfants qui essayent d’attirer notre attention.

Et nous préférons les faire taire plutôt que d’écouter ce qu’ils ont a dire. Comme ces parents qui continuent de regarder leur téléphone alors que leurs enfants leurs parlent, leurs bébés leur font des sourires, leurs plus vieux racontent quelque chose. Cet air distrait, peu présent, qui , quelque part prépare une catastrophe relationnelle.

Il en va de même pour nos symptômes.

Nous ne voulons pas avoir mal; ressentir trop fortement les cris du corps. Nous tolérons mal de ne pas pouvoir faire ce que nous voulons quand nous le voulons. Comme si notre corps n’était qu’une machine qui doit se comporter comme nous le désirons.

Mais notre corps est plutôt comme notre cheval: sensible, intelligent, en lien avec son environnement. Quand nous nous comportons comme des cavalières contrôlantes qui sont convaincues que nous savons mieux que notre cheval…Quand nous serrons la bride et le mords et que nous avons des éperons au talon,  alors nous compromettons notre relation avec notre corps et risquons encore plus de difficultés, plus de blessures à venir.

Soyons comme les Indiens des plaines qui montaient sans selle et sans bride et pourtant accomplissaient des exploits avec leurs chevaux.

Écoutons notre corps et ses symptômes. Laissons-le nous apprendre comment le traiter.

Même si nous prendrons peut-être quand même la pilule ou le remède, prenons avant tout le temps de se mettre en relation avec nos symptômes. Ils sont les Messagers.

 

La phase de lâcher-prise

Voici donc notre dernière phase , celle du lâcher-prise.

Je sais c’est un gros mot. Pas facile à appliquer même si tout le monde en parle. Comme un leitmotiv constant, il FAUT lâcher-prise. La difficulté vient du fait que tant qu’on VEUT lâcher-prise, on est pas en train de le faire.

Nous lâchons prise, plus souvent qu’autrement , quand nous n’avons plus le choix. Nous avons tout essayé; nous avons cherché partout nous semble-t-il.

Et la vie nous rattrape sur le coin de la table, entre deux avions, après une journée trop longue au bureau… nous sacrifions notre bien-être à la facilité d’un resto rapide, d’un sandwich pré-emballé qui goûte le carton, nous devons adapter notre régime à des difficultés financières ou a un déménagement dans un autre pays. Nous sommes  chez de la famille, en vacances, dans un tout inclus…

Parfois, il devient nécessaire d’apprendre à suivre le courant; à voir où est-ce que notre vie alimentaire nous veut, à vivre avec ce qui se présente sur notre chemin. Un pizza avec de la bière à trois heures du matin? Une grand-mère trop insistante avec sa tarte au sucre?

Il faut savoir lâcher nos désirs et nos préférences; nous adapter à ce qui se présente; lâcher le contrôle; accepter certains sacrifice.

Nous apprenons à faire confiance à notre corps qui , de toute façon, sait faire avec la nourriture. À nous de rester détendues!

Parfois le lâcher-prise se confond avec un abandon…nous décidons de tout lâcher par manque d’amour pour nous-même, par résignation, parce que nous ne nous sentons pas prêtes à faire le grand changement que la vie met sur notre chemin…les renoncements nécessaires sont parfois effrayants.

Quand j’étais dans ma jeune vingtaine, j’avais commencé à souffrir d’une forme d’arthrite ou de rhumatisme dans les genoux,,,les changement de température me faisait souffrir et je pouvais prédire la pluie 24 heures d’avance avec mes douleurs nocturnes, qui me gardaient réveillée. Pourtant j’étais en excellente forme physique. Un matin, en interrogeant mon corps, j’ai reçu le message très clair d’arrêter la viande. J’avais reçu ce message auparavant de mon naturopathe…près de 8 ans de végétarisme plus tard, avant même de savoir que j’étais enceinte, c’est le message inverse qui est venu: je devais recommencer un peu de viande…Il y a des phases à écouter et à naviguer.

Votre corps sait. Apprenez à l’écouter.

Je m’aime plus quand je mange moins

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Avez-vous déjà ressenti cela? Vous l’êtes-vous déjà dit? L’avez-vous entendu?
Ce n’est pas toujours dit dans ces mots-là.
Parfois, c’est simplement mieux enrobé, déguisé…on espère avoir perdu du poids après une gastro par exemple. Ou dire qu’elle se sent plus légère quand elle mange moins; quand elle jeûne…
Ou pire. Des femmes me confient qu’un cancer, ça fait disparaître toute la cellulite.

Cela trotte dans la tête de bien des femmes et de certains hommes.
Que l’on soit en sous-poids, surpoids ou apparemment »normal ».

Cela parle de la maladie de notre société. Notre société d’abondance qui maintenant considère comme « beau » ce qui avant , en temps où la nourriture était plus rare et les récoltes moins assurées, était considéré comme maigre, chétif, « pas fort ».
On a peur du gras, autant dans la nourriture que sur le corps; ou on trouve ça disgracieux.
Trop maigre ce n’est pas bien non plus, mais c’est plus encouragé. C’est à dire qu’on va entendre une réflexion sur cette femme qu’on va dire anorexique mais peut-être que secrètement on l’admire, la jalouse ou l’envie…
Et puis il y ces femmes qui cachent si bien leur jeu: elles ont l’air en forme, mangent bien, s’activent, s’habillent comme elles le veulent, font tourner les têtes. et parfois sous des dehors positifs et enthousiastes est caché le prix réel de cette apparente perfection.

Il nous faut sortir de cette terrible habitude de mettre notre valeur dans des chiffres, dans des mesures. Les chiffres, les mensurations, les calories, les formes ne parlent pas d’amour, de valeur morale, de bienveillance…Les chiffres ne parlent que de quantité. Ils se comparent. Mais ne nous parle jamais de qualité; de personnalité, d’histoire de vie ou de parcours.

Qui peut dire ce qui se cache sous cette apparence? Sous cet « air » bien ? Sous ce corps parfait? Sous ce surpoids?

Tous les seins finissent par tomber et se flétrir…mais ont-ils eu la chance d’allaiter un enfant?
Tous les ventres s’épaississent un peu (ou plus!) quand la ménopause arrive; mais ont-ils aimés? Été aimés?
Oui, le dessous des bras finit par s’affaisser, comme la peau du menton, ou celle du torse.
Tous les visages se rident, mais ils ont tant vu!

Tant que nous ne serons pas intéressées par l’histoire de notre corps, du corps de l’autre, nous resterons prises sous une image; un jugement rapide, une projection.
Tant que nous n’apprendrons pas à aimer ce corps, ce temple qui permet à notre âme de se manifester sur la terre, nous passerons à côté du précieux de la vie.

Aujourd’hui, faisons le choix de nous aimer telle quelle. Toute entière. Rides, rouleaux, boutons…ce sera le début d’une véritable révolution.
Car une femme qui aime son corps, qui s’aime elle-même, fera tomber toutes ces corporations qui profitent de cette haine de soi qu’elles entretiennent savamment.

Tant que nous resterons accrochées sur la forme, nous ne pourrons pas plonger dans les profondeurs de notre Être.

la phase de soutien/maintien

Voici notre troisième phase. Je vous rappelle que ces phases n’arrivent pas dans un ordre précis. Elles vont et viennent et le plus important est d’apprendre à les reconnaître pour nous-mêmes et les laisser aller quand elles changent…

La phase de soutien est « tout roule comme d’hab ». Nous sommes sur le régulateur de vitesse, ni trop vite, ni trop lent. C,est la vitesse de croisière ou nous sentons satisfaites de notre rythme de vie, de nourriture, de travail, de relation.

Il n’y a rien à régler, pas d’urgence particulière à s’occuper.

C’est une phase tellement ordinaire, que nous remarquons rarement quand nous y sommes.

Parfois c’est comme un plateau. Malgré nos efforts, tout se maintient. Pas de changement spectaculaire; pas vraiment d’amélioration dans notre routine d’exercice; stabilisation de notre poids.

Le plus important est de rentrer en toute tranquillité dans cette phase. Tout va bien, notre corps est dans son petit rythme confortable. C’est peut-être un bon moment pour mettre notre attention ailleurs que sur notre alimentation, notre corps ou notre santé.

Nous pouvons prendre des vacances intérieurs de notre vigilance habituelle et nous détendre.

Apprécions la routine et la tranquillité de cette phase. Elle aussi passera!

La phase de nettoyage

Il y a en nous un instinct tout naturel d’avoir envie de remettre de l’ordre, de ranger, de nettoyer…en psychologie de la nutrition, cela se traduit par un comportement alimentaire qui cherche à se renouveler.

On l’appelle la phase de nettoyage. Comme quand le printemps arrive enfin après un long hiver et que nous voulons ouvrir les fenêtres aérer la maison. Nous avons envie de respirer plus profondément, de nous sentir plus légère.

Durant cette phase, nous sentons le besoin de changer de régime alimentaire: peut-être que nous avons plus envie de manger cru, de manger plus simple, de faire des smoothies.

Nous avons moins envie de nourritures lourdes et ça pourrait être un moment propice pour diminuer notre consommation d’alcool, de café, de sucre, de produits trop transformés.

Peut-être que nous ressentons parallèlement le besoin de faire le ménage de la maison, des gardes-robes, du grenier, du garage ou…de nos relations!

C’est un bon moment pour mettre fin à certaines étapes de nos vies, de renouveler un engagement envers nous-même, de faire un jeûne…parfois même nous pourrions ressentir une sensation de deuil de ce à quoi nous renonçons.

Mais souvenez-vous: ceci est une phase. Cela veut dire qu’elle a un début et une fin. Être constamment dans une détox ou une autre; chercher sans cesse à se « purifier », à s’alléger peut devenir un piège. Car alors c’est plutôt la peur (de la maladie, de la vieillesse, de la perte de contrôle) qui mènera cette phase.

J’ai connu beaucoup de gens qui mangeaient « bien » et même « parfaitement » selon leurs croyances parce qu’ils avaient peur d’être malades. Et quand ils-elles sont malades, c’est la révolte intérieure et le sentiment d’injustice d’avoir fait tous ces sacrifices pour rien…

Alors quand nous sentons en nous une phase de nettoyage, entrons dedans avec la joie d’un printemps retrouvé et avec l’acceptation des autres saisons qui reviendront comme elles se doivent.

Les fêtes, la nourriture…et moi!

Bon matin de veille de Noël

Les festivités ont commencé, pour certaines depuis quelques jours déjà…et on voit de la nourriture partout, on la cuisine, on y pense et on est constamment sollicitée….

Êtes vous de celles que les fêtes stress? Particulièrement autour de la nourriture?

Il n’y a pas que la famille avec ses multiples dysfonctions qui nous stress, mais tout notre rapport à la nourriture dans ces moments chargés. Il faut être joyeux, de bonne humeur et s’aimer, ou du moins avoir l’air. Il FAUT se détendre, Ah! Comme si l’obligation de se détendre nous détendait vraiment…

Il y a toutes sortes de tentations, et pour celles qui en sont à leur énième régime, elles savent déjà qu’elles vont le foutre en l’air et se culpabilise avant même d’avoir avalé une première bouchée. Il y en a qui pensent déjà à ce qu’elles auront à faire après le nouvel an pour compenser..un jeûne ? Un nouveau régime? Une version plus drastique de leur diète actuelle? Un blitz au gym?

Comment survivre au fêtes quand on y entre déjà comme une combattante?

Comment se détendre  face à la surabondance de nourriture quand on se prive trop souvent?

Laissez moi vous offrir quelques conseils pour traverser vos fêtes…

Premièrement, donnez vous la permission de manger et refuser toutes formes de culpabilisation ou d’auto-violence. Rien de plus difficile pour votre système digestif que de recevoir un double message: je mange mais je ne devrais pas…Entrez donc dans le PLAISIR.

Pour bien digérez, penser LENTEMENT. Rien de mieux que de prendre tout son temps pour manger. On se sent plus rapidement satisfaite, on en profite au maximum et finalement on fait moins d’excès.

Soyez PRÉSENTE! Regardez votre nourriture, prenez le temps de savourer, mangez avec vos yeux avant de manger avec votre bouche. Soyez dans la gratitude de toute cette abondance et taisez votre mental.

Faites de ces moments de bons moments. Pensez à l’amour que vous portez à vos proches, mangez avec tendresse…

Et je vous reparle au tournant de l’année , quand vous serez trop tentée de vous remettre au régime !

 

 

Pourquoi encore un site sur la nourriture?

tranquille rivière

Dans notre société où la « pornographie alimentaire » est reine; où l’on parle plus de nourriture que ce que l’on en cuisine réellement; où l’on reçoit des informations « scientifiques » contradictoires et qui mènent à la confusion; où il commence à y avoir plus de « religions alimentaires » que de présence dans les lieux de culte; où il devient très difficile de connaître la vraie provenance de nos aliments ou même leur composition; où les maltraitances animales sont effarantes et celles des sols à peine moins pires… et j’en passe! Lire la suite